Alors que l’avènement du « No Code » est une réalité de plus en plus présente, avec des levées records pour les sociétés fournissant des outils ainsi que des sociétés qui fleurissent autour de la construction de ces applications, un sujet juridique vient s’inviter dans le paysage et il pourrait bien bouleverser les enjeux économiques du marché logiciel dans les 15 ans à venir.
En effet, SoftFluent vient de déposer une base de code totalement vide et démontre, au travers d’un article encore présent en ligne, l’antériorité de sa vision sur le ‘no code’. En effet, c’est aujourd’hui même le quatorzième anniversaire du lancement de NothingFluent, un produit tellement révolutionnaire que personne ne l’avait réellement compris à l’époque. L’idée de n’avoir aucun code était alors peut-être trop en avance sur son temps. D’ailleurs, pour capitaliser sur son expérience reconnue de l’audit de code, SoftFluent se lance sur le marché de l’audit de no code.
L’heure est désormais venue de rendre justice à cette innovation de rupture, et l’avènement du ‘no code’ est très certainement le levier majeur pour permettre à SoftFluent de monétiser son idée, en réclamant, dans un premier temps, des redevances sur l’ensemble des applications produites dans le monde…